Mahamat Nour Ibedou. AlWihda Info/D.W.
La CTDDH par notre voix adresse aux musulmans du monde entier, ses vœux les meilleurs à l'occasion de l'Aid EL ADHA (la fête de l'immolation),qui est une sunnah du prophète Abraham.
C'est le lieu ici de souhaiter à tous les peuples le bien-être ici bas et le bonheur dans l'au delà.
S'il y'a ici un peuple qui doit aspirer plus que tout autre au bien être c'est bien le peuple tchadien.
S'il est vrai que ce peuple n'a jamais connu de dirigeant exemplaire depuis l'indépendance du Tchad, le dernier en l'occurrence IDRISS Déby est le pire dirigeants que ce pays ait connu. À l'inverse de ses prédécesseurs qui avaient des programmes politiques à peu près normaux, l'actuel chef d'état, de part les actes posés depuis 1990, à laissé transparaître un agenda politique devenu désormais clair pour tous les tchadiens :
IDRISS Deby est arrivé au pouvoir uniquement pour imposer une dictature et faire des membres de sa famille les maîtres des autres tchadiens.
Cette politique d'exclusion à outrance a été tellement bien menée et avec une finesse telle qu'à présent il n'y a plus de place pour les membres des autres ethnies du pays qui, au bout du compte ne se sentent plus concernés par les affaires nationales ;. même ceux nommés à la tête des grandes institutions et autres postes clés sont souvent très stressés et n'ont aucun pouvoir réel. La preuve, ils n'hésitent pas à se plier souvent en quatre devant des individus qui n'ont d'autre statut que celui d'être parents de Deby.
Ce programme avait commencé par la maîtrise totale de l'armée, de l'administration, du système sécuritaire et surtout, de tout le circuit commercial. évidemment, avant de boucler l'hégémonie de ses parents dans ce domaine, il faut à tout prix appauvrir tous les autres riches n'appartenant pas au sérail ; ce qui fut fait.
À présent, tous les autres tchadiens en sont réduits à vivoter et en arrivent même à assurer difficilement le seul repas quotidien; les quelques commerçants apparemment prospères ne le sont qu'avec la bénédiction d'un des proches de Deby ou leur servent simplement de prête-nom.
Toute entreprise étrangères est astreinte à verser une dime à la famille du chef et surtout accepter l'introduction d'un des membres en tant qu' actionnaire avant d'obtenir une autorisation pour s'installer au Tchad. Résultat, Deby et ses parents contrôlent toutes les chaînes, d'alimentation, de distribution de carburant, de pharmacies, de transport interurbain , de téléphonie mobile où ils sont à l'origine de l'arnaque éhontée des populations Tchadiennes etc.
C'est un euphémisme que d'affirmer qu'à l'heure actuelle, ce pays appartient à Deby et à ses parents.
L'agenda de Deby ne s'arrête pas là: il faut pour boucler cette hégémonie rendre difficile la vie des fonctionnaires afin de fragiliser la seule source de revenue des ménages des autres tchadiens et les obliger à terme à la servitude ; les 16 mesures et les autres coupes et réductions des salaires participent de cette logique implacable.
Le programme de Deby en cette fin du mois d'août 2018 est exécuté à 100%.
Non content d'avoir fait du pays sa propriété privée, il s'attelle maintenant au couronnement d'un super pouvoir à la "Bokassa" en Centrafrique dans les années 70. Il est vrai qu'à force d'écouter le matraquage quotidien des courtisans et autres griots attitrés qui lui rappellent à longueur de journée que sans lui, le Tchad ne va pas exister, il fini par croire qu'il est un surhomme investi des pouvoirs surnaturels.
Le fameux "Forum institutionel" qui a abouti à cette constitution de la fameuse 4e République qui est une aberration en soit ainsi que les inombrables ordonnances qu'il prend à tour de bras en sont la plus parfaite illustration. Maintenant, pour parachever cette puissance, Il ne lui reste qu'à assouvir un désir secret qui est le propre des dictateurs les plus endurcis : la volonté de puissance: il s'agît à présent d'écraser tout le monde de sa toute puissance; c'est ainsi que l'imposition du serment confessionnel au delà du fait qu'il viole un principe sacro saint qui a toujours incarné la laïcité de l'état tchadien est une manière idéale d'humilier ses collaborateurs en démontrant à toute la planète qu'il est le maître absolu.
Obnubilé par les succès consécutif à la gouvernance économique opérée par le Rwanda, il se permet même d'imiter le président Kagame à qui pour tant il n'arrive même pas à la cheville. Un mimétisme grotesque qui qui ajoute encore une note ridicule à une gouvernance folklorique qui va au-delà de l'enfantillage et du ridicule.
Au terme de notre étude nous sommes tenter de faire remarquer qu'à l'heure où nous mettons en ligne ces notes, Idriss Déby, par le biais des ordonnances qui ont valeur de loi (parcequ'elles seront aisément validées par cette assemblée à sa dévotion) dispose d'un droit de vie et de mort sur tous les citoyens tchadiens.
Est ce qu'il faut continuer à laisser cet individu et ses parents disposer de notre sort en ce 20 août 2018 ?
Sortons de notre apatie actuelle et prenons notre destin en main ! C'est honteux qu'un peuple réputé courageux comme le nôtre puisse se laisser avoir par un homme qui ne mérite pas de diriger cet état une seule minute.
Mahamat Nour IBEDOU
Secrétaire général de la CTDDH
C'est le lieu ici de souhaiter à tous les peuples le bien-être ici bas et le bonheur dans l'au delà.
S'il y'a ici un peuple qui doit aspirer plus que tout autre au bien être c'est bien le peuple tchadien.
S'il est vrai que ce peuple n'a jamais connu de dirigeant exemplaire depuis l'indépendance du Tchad, le dernier en l'occurrence IDRISS Déby est le pire dirigeants que ce pays ait connu. À l'inverse de ses prédécesseurs qui avaient des programmes politiques à peu près normaux, l'actuel chef d'état, de part les actes posés depuis 1990, à laissé transparaître un agenda politique devenu désormais clair pour tous les tchadiens :
IDRISS Deby est arrivé au pouvoir uniquement pour imposer une dictature et faire des membres de sa famille les maîtres des autres tchadiens.
Cette politique d'exclusion à outrance a été tellement bien menée et avec une finesse telle qu'à présent il n'y a plus de place pour les membres des autres ethnies du pays qui, au bout du compte ne se sentent plus concernés par les affaires nationales ;. même ceux nommés à la tête des grandes institutions et autres postes clés sont souvent très stressés et n'ont aucun pouvoir réel. La preuve, ils n'hésitent pas à se plier souvent en quatre devant des individus qui n'ont d'autre statut que celui d'être parents de Deby.
Ce programme avait commencé par la maîtrise totale de l'armée, de l'administration, du système sécuritaire et surtout, de tout le circuit commercial. évidemment, avant de boucler l'hégémonie de ses parents dans ce domaine, il faut à tout prix appauvrir tous les autres riches n'appartenant pas au sérail ; ce qui fut fait.
À présent, tous les autres tchadiens en sont réduits à vivoter et en arrivent même à assurer difficilement le seul repas quotidien; les quelques commerçants apparemment prospères ne le sont qu'avec la bénédiction d'un des proches de Deby ou leur servent simplement de prête-nom.
Toute entreprise étrangères est astreinte à verser une dime à la famille du chef et surtout accepter l'introduction d'un des membres en tant qu' actionnaire avant d'obtenir une autorisation pour s'installer au Tchad. Résultat, Deby et ses parents contrôlent toutes les chaînes, d'alimentation, de distribution de carburant, de pharmacies, de transport interurbain , de téléphonie mobile où ils sont à l'origine de l'arnaque éhontée des populations Tchadiennes etc.
C'est un euphémisme que d'affirmer qu'à l'heure actuelle, ce pays appartient à Deby et à ses parents.
L'agenda de Deby ne s'arrête pas là: il faut pour boucler cette hégémonie rendre difficile la vie des fonctionnaires afin de fragiliser la seule source de revenue des ménages des autres tchadiens et les obliger à terme à la servitude ; les 16 mesures et les autres coupes et réductions des salaires participent de cette logique implacable.
Le programme de Deby en cette fin du mois d'août 2018 est exécuté à 100%.
Non content d'avoir fait du pays sa propriété privée, il s'attelle maintenant au couronnement d'un super pouvoir à la "Bokassa" en Centrafrique dans les années 70. Il est vrai qu'à force d'écouter le matraquage quotidien des courtisans et autres griots attitrés qui lui rappellent à longueur de journée que sans lui, le Tchad ne va pas exister, il fini par croire qu'il est un surhomme investi des pouvoirs surnaturels.
Le fameux "Forum institutionel" qui a abouti à cette constitution de la fameuse 4e République qui est une aberration en soit ainsi que les inombrables ordonnances qu'il prend à tour de bras en sont la plus parfaite illustration. Maintenant, pour parachever cette puissance, Il ne lui reste qu'à assouvir un désir secret qui est le propre des dictateurs les plus endurcis : la volonté de puissance: il s'agît à présent d'écraser tout le monde de sa toute puissance; c'est ainsi que l'imposition du serment confessionnel au delà du fait qu'il viole un principe sacro saint qui a toujours incarné la laïcité de l'état tchadien est une manière idéale d'humilier ses collaborateurs en démontrant à toute la planète qu'il est le maître absolu.
Obnubilé par les succès consécutif à la gouvernance économique opérée par le Rwanda, il se permet même d'imiter le président Kagame à qui pour tant il n'arrive même pas à la cheville. Un mimétisme grotesque qui qui ajoute encore une note ridicule à une gouvernance folklorique qui va au-delà de l'enfantillage et du ridicule.
Au terme de notre étude nous sommes tenter de faire remarquer qu'à l'heure où nous mettons en ligne ces notes, Idriss Déby, par le biais des ordonnances qui ont valeur de loi (parcequ'elles seront aisément validées par cette assemblée à sa dévotion) dispose d'un droit de vie et de mort sur tous les citoyens tchadiens.
Est ce qu'il faut continuer à laisser cet individu et ses parents disposer de notre sort en ce 20 août 2018 ?
Sortons de notre apatie actuelle et prenons notre destin en main ! C'est honteux qu'un peuple réputé courageux comme le nôtre puisse se laisser avoir par un homme qui ne mérite pas de diriger cet état une seule minute.
Mahamat Nour IBEDOU
Secrétaire général de la CTDDH